TOUT AU BOUT DE LA LANDE DE COURLANDE, LA RUSSIE

Publié le par FRANCIS LAVEAUX

DSCN5554.JPGTout au bout c'est la Russie. La Russie rêve européen ou cauchemar asiatique, rêve d'orient ou horreur occidentale. D'un Poutine l'autre. Ici c'est la Courlande, juste au nord de Klaipeda alias Memel. Nous avons logé dans le même hôtel qu'Hitler sans le savoir et de toute façon c'est incidemment qu'on l'apprend car plus personne n'en est fier et seulement une ligne au fond d'une page de la brochure de l'Hôtel Europa ( le bien nommé sic)  en parlait. Il faisait froid ce jour-là mais nos hôtes loithuaniens n'en avait cure et on s'est quand même tapé toute la plage. Pensé à Ubu dontl'avneture imagianire a démarré ici. Vu des gens sortir d'un sauna totalement nus et se jeter dans l'eau glacée. Je peux vous dire que c'est mieux qu'à la télé (comme quoi la télé ne sert à rien puisque elle ne nous rend même pas les sensations primaires. Un pays totalement surréaliste avec de la neige (c'est bon pour notre imagianier). En rentrant de Klaipeda vers Vilius, 350 kms sur des routes verglacées dans un minibus Volkswagen conduit par un probale ancien chauffeur de l'Armée rouge qui allait volle gaz sur une route enneigée et et verglacée. Un arrêt à 8 heures du matin dan sun restoroute au mileur des pins, dans le froid (moins 8° environ) et tout à coup entendre O Sole mio en Lithianien. Et notre guide nous informe que le Lithuanien est une des plus vieillles langues d'Europe, en ligne directe sur les anciennes racines indo européennes, à égalité avec le latin. En Lithuanie, à la frontière de tout on se rend compte de l'amour qu'on peut porter aux langues, à la sienne à celles des autres, arriver à les comprendre, les saisir. Réflexion à partir d'un article de Jacques Derrida paru ce mois-ci dans manière de voir (un avatar du monde diplomatique) quelques articles intéressants, cette réflexion sur la relation que l'on a profonde, intime avec sa langue à ,soi, maternelle au pur sens du terme, pour citer Derrida " ...amour de la langue, et même une sorte de nostalgie...comme si cette langue avait été perdue dès l'enfance, dès le premier mot". Et puis ce numéro de manière de voir si intéressant et si décevant finalement au point que j'ai regretté les 7 euros dépensés pour l'acquérir. Pourquoi au monde diplomatique et consorts ce besoin d'instruire en permanence à charge ce grand procès des intellectuels contre l'Amérique, ce besion de se trouver en permannece un ennemei à juger, un diable, un démon tjs prêt à annihiler la culture§  c'est pourquoi c'était dévcevant. Heureusement il est resté un meveilleux article d'Assia Djebar et une réflexion sur la francophonie de Tahar Ben Jelloun. Pour revenir au thème de ce blog qui porte sur les nantis intellectuels, ce concept qui voudrait que si l'on est un intellectuel nanti on ne peut rien vouloir d'autre et on devrait se contenetr de ce qui nous échoit. Toujours à partir du même magazine une réflexion sur la communication. Citons Philippe de St Robert "La communication n'est que du vent si elle ne sert pas à échanger. Or les mots comme la monnaie fiduciaire, et pour ne pas dépendre que d'elle sont la clé des échanges." ce qui nous semble un truisme est pourtant diificile à établir; Combien n'avons pas vu de fois des fromations en communication et des communicatiosn sans objet. Comme la liberté, la communication est dans la langue de tous les dirigeants, quels qu'ils soient. Tous vont communiquer, tous sontd es grands fans de la liberté (pour eux manifestement, pas pour les autres). Faut-il encore ressortir vette sentence quasi-carambar, faites comme je dis et pas comme je fais. C'est vrai qu'avec bcp de dirigeants si on faisait comme ils font on n'est pas sortisd el'auberge. Voici donc où en sont mes réflexions ce soir. Je trouve la lniguistique passionnante, la lecture enivrante et tellement ont tant de choses à dire et tant sont brimlés dans leur expression. Se mettre devant son ordinateur, entrer des choses dans son blog même si peu de personnes (et peut-être personne) liront ce qui est écrit, car j'ai l'impression que l'on écrit (qd on arrive à écrie) que pour soi. Bonsoir à tous.
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